vendredi 20 juillet 2012

Le déserteur / LA liberté est le crime qui contiens tout les autres / on fume pour ne pas avoir a parler, et les morts avec les morts et les vivants avec les vivants On m'a volé ma femme on m'a volé mon âme et tout mon cher passé En pensant au crépuscule une idée m'est venue, la voilà : Les impressions du soi sont les choses que le moi se donne, en prenant au monde, grâce au sens, ce dont il à besoin.

I ) Je pourrais parler et parler et parole et parole mais tout ça déchire les poumons alors j'envoie au monde en espérant recevoir une bouteille ces quelques vers.

PREMIER JOUR



LES ENFANTS
NON PAS TUER L'ENFANT QUI EST EN TOI MAIS CELUI QUE TU VOIS DANS LA DEMARCHE CHANCELANTE DE CELUI ET DE CELLE QUI T'A FAIT
ETRE 
UN ETRE
HUMAIN
MAIN
DANS
LA 
MAIN
 DES VAGUES
ECUMES DANS TON SEXE.
DANS TROIS JOUR 
UN MONDE FINIT
UN MONDE NAIT
LE MONDE NOUS LE VERRONS MOURRIR
ET VIVRE
SI 
L'amour nait pour soit quand le regard se pose sur l'autre, entrainés car se comprenant l'un l'autre, ni femme ni homme, ni créateur ni procréé, ni adopté ni abandoné, 
un être humain, deux, ensemble, 
pour
faire et refaire et prendre et comprendre et voir et savoir et imager en imaginant et se confondre dans la béatiture des matinées nuageuses en patience, en croquand et en sautant les notes les pas qu'on nous a appris réaprenons les 
avec la danse
le courage
l'honneur
la force
la beautée
la beautée est la chose que nous cherchons ou détruisons 
comme en disant
TCHECHENE BRISE TES CHAINES
ARRETE
REGARDE
en demandant
EST CE QUE TU M'AIME
car l'amour nait et ne se donne pas.
comme 
SI L'ON SE DONNAIT VIE
en grandissant l'on a peur de dépasser plus vite la foudre qui nous attache a l'amare au port 
a la vie que nous connaissons
avec (ou) sans (toi.)
APPRENDRE
a écouter ce que l'on veut nous donner et pas nous prendre ou nous apprendre
a compter
a écrire
a tenir
une bite
ou 
un couteau 
pour déchirer le voile que la maison pose sur nos yeux
la voute
les étoiles
qui dansent
qui pensent
qui palpitent dans nos coeurs
sinon
OU VA T'ON
D'OU VIENT ON
COMMENT
ET 
je ris. 
De savoir que je crois.
je sais que  JE OU TU crois comme ils savent m'attraper. 

un message d'espoir, un chemin, partout ou mes yeux se posent, pour slalomer, les pieds ondulant sur la vague et le tonnerre, et passer à travers brousse, "ordonner le bordel" comme on dit aux filles de s'habiller en fille et aux garçons de s'habiler en père comme on dit au père d'avoir une fille et aux mères un garçon comme on dit aux garçons de ne pas pleurer comme on dit aux filles de savoir sauter sur la corde a sauter et les culottes volent dans la cour de récré entourée des mirradors hurlants. 
Du maquillage dans les poches
des boutons où et hé ou appuyer. 
FERME TA VESTE
J'ai ceuillit sur la peau d'un arbre paisible une écaille de poisson volant,
sous nos pieds la boule tourne doucement, vaguement s'écroule, terrible fourmillement que de sentir le monde vivre, vive, le vent, le sable, le temps, 
L'ESPACE
qui aspirent les hommes qui lèvent la tête pour aller au plus près de la lumière
Sentir sur ses paupières, sur les pomettes et les doigts, les oreilles, les cils, l'ombrage s'accrocher doucement. Ne pas avoir peur de mourir par ce qu'on sent ses pieds comme on touche ses cheveux. Entre ciel et terre on inverse la cadence, boson sous acide, C. Manson pleure des pétales de cerises. 
SAVOIR LA PLACE EN SE PLACANT DEVANT UN AUTRE MIROIR QUE LA PERSONNE QUE L'ON AIME QUI NOUS AIME ET DIT VOUS POUR DIRE NOUS ET DIT TU POUR DIRE JE PAR CE QUE
L'ON PASSE SON TEMPS A JOUER 
SANS
SAVOIR A QUI L 'ON A AFFAIRE
TON EXISTENCE
N'EST PAS L'ESSENCE 
POUR METTRE LE FEU
AUX YEUX
AIMANTS
AMANTS
DE 
LA FOUDRE
JE VOUS PARLE POUR 
AVEC
ET 
SANS. 
ESSENTIEL JE TE NOMME MAIN
UNIVERSEL JE TE NOMME PAIN
EXISTENTIEL JE TE NOMME VIN 
je ne distriburait a personne les lignes de la main mais plutot je me penche pour embrasser tes lèvres. 
comme mes rêves
NEMO. 
a une lettre près se dit
AMEN
ameno, d'ou-est ce que vient cette complainte de la lune et des saints? 
JE SUIS NEE AVEC DES SEINS
JE TIENS PEUT ETRE TA BITE DANS MA MAIN
MAIS
TU EST NE AVEC UNE BITE
COUILLE OU NIBARD
SE COMPLETENT TRES BIEN
EN JOUANT A CHAT
le seul jeu auquel personne ne sait jouer
c'est l'amour
ainsi
la chose la plus dure a dire
est
je t'aime. 
ainsi, 
la chose la plus dure a entendre
est
je t'aime
ainsi
l'on se prends par les mots
mon amour mon ami mon amant
pendant
mère soeur pute
je me sens comme une coquille
de coquillage
agée de mille ans
emportée par le courant
courageux vent du nord
vantardise fière et forte
forte 
comme le tronc d'un arbre
abrité par le temps
tempétueux sacage
sauvage prétresse
sagesse ancestrale
ancêtre
de moi même
soeur de 
personne 
qui tua cyclope
l'aveugle
pour 
traverser
la mer
mère des hommes
rejoindre 
son aimée
l'éclair, la foudre, la forte et sage olympe, déguisée en achille, dont le talon bas le rytme d'un coeur d'enfant 
de boeuf et le sacrifice
au sommet
des temples 
des jungles 
des tempes battantes
des jugulaires qui bouent
d'une fureur
criant 
a la poésie
a la poésie
comment va tu
poésie
comment est tu
poésie
comment te sent tu poésie toi qui te fait battre par mes doigts brûlants
quand j'hurle a la mort 
quand je tue mes souvenir
quand j'attends dans l'ombre de moi même
le sommeil
les rêves
connexion
fourmilière
ferme les yeux
pour
parler
aux
chats. 

TUEZ VOUS LES UNS LES AUTRES
MURMURE
LA FAUX LE FAUX LES MASQUES LES JEUX QUI FONT MAL LES LOUPS HURLANT A LA LUNE "AIME MOI TOI QUI EST SI LOIN
TOI QUI ME FAIT CHANGER EN BETE"
TOI ANIMAL
TOI LION
TOI POISSON
TOI LAPIN
trois jours 
pour 
toujours. 
bonjour poïpoï
wasabi mais (?) d'ou l'café
souvenir
SOUVIENS TOI 
DES JOURS QUI PASSENT 
DES COUPS SUR LES BRAS
LES JAMBES
LES LEVRES SAIGNANTES
ADMIRE LE FEU 
RESPECTE LE SILENCE QUI TE GUIDE
soit la perte soit le don soit tu prends soi tu laisse soit tu te tais sois tu l'ouvre et tu dit
FERME
LA
porte de la maison du bonhomme qui marche sur du papier sans se casser le nez par ce que les doigts glissant sur la poignée ont dérobé a la chansonette son art de casser la tête, sournoise ranguaine qui assène le petit homme qui n'avait jamais navigué, qui pense pour pleurer, en disant aux petits, si tu crée si tu vis dans du papier dans des histoires dans une autre réalité que la tienne
AVEC L'AIR DE SAVOIR CE QUON DIT SANS SAVOIR CE QU'ON FAIT 
ON LUI DIT 
JE ME DIT
ON NOUS A DIT IL ME SEMBLE JADIS " 
tu 
te casseras le nez
en cognant 
de ta tête
pirouette 
cacahuète
l'humain
qui parle des rêves. 
"trève,
allons fumer du tabac,
pour bailler en paix. 
JE VOEUX
je voeux ne plus avoir a me demander si je peux
peur 
peu 
pour
tout
peut 
être 
rien
du 
tout
ose 
tu n'ose pas dire ce que tu ose
déclame 
chante
et touche
le son
et mange
l'ivraie
fabrique
la bière
évapore
la tête
respire
la bêtise
de se dire
que fais-je
qui suis-je
car 
JE SUIS
TU EST
NOUS SOMMES
VOUS ETES
IL EST
ELLES SONT
ELLE EST
ILS SONT
les songes
d'antan
la grotte
aux rêves
perdus
se trouve
a l'arrière
de tes peurs. 
Laisse moi panser tes bandages
car je sais
qui je suis
et tu sais
qui tu es
et nous sommes
fièrs et heureux
libres 
animaux
qui pensent
le monde
avec 
leurs doigts
leurs langue
leur noeuds
les courants
nous emporte 
vers l'autre
acroche toi 
tes 
cheveux
si 
tu 
n'a 
pas 
peur 
de 
mourir. 
PAROLE
PAROLE
PAROLE
et on parle a tors et a travers 
au lieu de dire
laisse moi manger en paix la nourriture que tu m'offres
au lieu de dire
laisse moi toucher tes yeux des miens
au lieu de dire
laissons nous un peu avant d'être las
lache ce lieu 
lache la courone
lache ou lèche mais laisse tomber les trous
noirs
comme 
le 
charbon
des 
puits
des 
vers
des
dimentions
de cette chaise
des dimentions de cette table
des dimentions de cette fleur qui jaillit
des dimentions de ce texte et de ma voix 
dis moi si tu n'en peux plus de moi qui suis si drôle et terrible
laisse moi marcher
laisse moi courir
ou courrons
pour voir
si 
on 
sait 
bien 
jouer 
à la course
sans 
se taper
dessus
sans se
sucer 
le sang
sans s'aspirer
dans l'autre
homme
tu est un homme
femme 
il y a une femme 
je suis une femme 
et j'aime bien les humains
assez en tout cas
pour leur
écrire
des poèmes
comme ça je laisse
le temps au temps et 
je ne lasse pas mes doigts
autrement que pour graver avec
des pétales de rose le gout des noms.