mardi 5 juillet 2011

Ceci n'est pas une vanité.

Hé toi

Homme gris, enfermé, cassé par des barricades de fer
Avalé, digéré, par la masse qui pense pour toi,
Et trace des chemins faciles a gober, sympa a gagner
"Faut bien bouffer."
A qui le dis tu, j'existe pas pour survivre.
Tu te raccroche a des idéaux mâchés
Pour ne pas tomber plus bas.

Hé toi

Les g'noux dans la poussière
Qu'es'tu cherche encore, sors de ce rêve
Que tu frôle des doigts
Qui t'échappe, normal, il n'existe pas!

Je sais c'était bien, jadis, hé mais j'interdis
De parler du bon vieux temps
La nostalgie moi ça me paralyse
Pars ne te retourne pas derrière il n'y aura rien t'sais
Rape si tu veux, ripe pas, RIP l'passé pourri
Il ne te rattrapera pas.
Allez courage lève toi, fais une trêve une croix chais pas
mais quitte ce truc qui te bouffe
Te mâche et puis crache
Allez marche!





Réinvente la vie sauvage, 
Et détruit ces barrières faites de barbituriques.



2 commentaires:

  1. je voulais te mettre un truc trop intense comme premier commentaire, mais tu te contenteras de : c'est toi la barbie turique.


    (et sinon tu devrais lire c'est beau une ville la nuit de Bohringer mon gars)

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  2. ok, merci pour le livre c'est chouette ça tombe grave à pic.

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fragment poussiéreux