vendredi 16 septembre 2011

On arrête pas steamboat bill junior comme ça.




Par ce que c'est loin, et partout à la fois. J'aime pas me la jouer sentimentale pleurnicheuse, les yeux embués de regrets reflétant les anciennes passions, appelant au passé comme on sonne un clocher, histoire de réveiller la foule endormie qu'elle se rue dans la vielle église pour se peler le cul en larmoyant.

2 commentaires:

  1. ou peut-être que l'art et la tragédie grecque marchent bien parce qu'ils ont des pieds pour marcher, eux.
    quant à l'autre péteux à nombril qui soit-disant fuck les règles de son temps en prenant masse de risques oulala dis donc - statues vengeresses, syphilis, clochards à moitié morts mais quel manque d'AUDACE -, ben je le choppe par la dentelle et je lui vomis dans la bouche.

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  2. Jamais anodin non, le petit jeu du commentaire. D'inconnue à inconnue. Je suis toujours étonnée qu'on me dise que je touche. L'Autre, le Grand Etranger me paraît toujours si lointain que c'est absurde qu'il se retrouve dans ces petits bouts de moi que j'exhibe.
    Je prendrais le temps de regarder tes petits bouts à toi, curiosité oblige. Mais pas ce soir, ce soir ce sera mon lit, la nuit et le sommeil.

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fragment poussiéreux