vendredi 30 septembre 2011

Y'a un dessin avec mais là ya pas le scan avec.

Si un jour le dos contre le mur en attendant encore un tour la casquette visée sur les cheveux ébouriffés, voir le souffle des cigares dérobés et les pantalons des vieux bourgeois crevés, on les a comme ça comme un oliver twist comme un enfant qu'a froid comme quand on regarde dormir et qu'on est heureux.
La cigarette un peu éfilochée ma fois, le regard comme la laine noire pis le soir qui berce les morts.

Et alors les marins avec leurs mains d'homme face à la mer, jamais bercés le soir que par la mère des enfants perdus, vagues bleues comme un fusain écrasé par terre, on souffle un peu vl'a la tempête et du feux dans les cieux.
Faut dire que les chaussures ça compte un peu mais jamais assez pour deux, que les sourires sont aussi forts que les papillons, que
les funambules ne sont pas malchanceux
les lampadaire un deux trois pas trottinant sur les bottines noires un peu fort le bruit étouffé par les murs silencieux.

En plus tout continue et nous aussi et vlan dans tes dents t'a qu'a sortir ton revolver si t'a un peu faim si tu l'ose.




Moi j'adore par exemple faire du vélo. C'est mon poto maintenant et il a un guidon orange.

2 commentaires:

fragment poussiéreux